Le corporatisme, une solution d’avenir ?
3 février 2019 22:53, par Drago
Certains voient la Monarchie comme une Monarchie absolue.
Il n’est bien évidemment pas question de Monarchie absolue révolue mais de Monarchie constitutionnelle.
Quoi qu’il en soit, la fonction de président "chef des armées" doit impérativement disparaître.
Et qui dit "plus de président" dit "plus de République".
Fondamentalement quelle différence avec une Monarchie constitutionnelle ?
Très rapidement :
— Seul le Roy sera chef des armées et lui seul pour envoyer le pays à la guerre. Sachant qu’il y a le risque de la perdre et que ça pourrait lui coûter son trône... et même sa tête !
— Le Roy régnera mais ne gouvernera pas. Qui gouvernera alors ?
Eh bien tout simplement le gagnant des élections. Qui sera alors Premier-Ministre, Chef du gouvernement et non pas Chef d’État.
On constate donc qu’il n’y a aucun bannissement ou reniement de la démocratie mais qu’elle est toujours présente. Les élections se déroulent comme à l’habitude, avec un gagnant qui sera tout au plus Premier-Ministre Chef du Gouvernement et non plus "Président chef d’État".
Il y aura successivement des gouvernements de gauche et des gouvernements de droite comme à l’accoutumée... mais plus de "Président Chef d’État" !!
Y en a marre des aventuriers qui défilent au pouvoir à l’Elysée, juste le temps de faire leur sale besogne —quelques "bombardements humanitaires", constitués de "bombes propres", faisant de "bons cadavres"— avant de disparaitre de la circulation.
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Si une nouvelle ère débute dans ce sens, il faudra faire le tour des territoires d’outre-mer afin de bien clarifier la situation et la graver dans le marbre, car une nouvelle Constitution sera nécessaire.
Si ces territoires veulent être indépendants ou s’ils veulent être les sujets sous la protection de Sa Majesté le Roy de France.
Et dernier point non négligeable :
Le Roy est historiquement le seul lien qui relie la France à l’Eglise. Il n’y en a aucun autre.
Vous aurez compris donc que depuis 1789, le lien ayant été coupé, la France n’était plus "constitutionnellement" ni "officiellement" catholique.
Mais bel et bien "judéo-chrétienne", c’est à dire Protestante à savoir chrétienne vétérotestamentaire.