Néoténie, gentillesse et carriérisme : les ravages de l’hypergamie féminine
19 décembre 2018 01:21, par #
Ma dégénérescence serait fort utile à cette époque de fous : l’a-sexualité. Un jour par une matinée printanière, j’ai décidé de jouir autrement qu’avec ma queue. Par où commencer ? L’auto-castration par la force de l’esprit...mépriser la chair et le corps. qui amènent inéluctablement au dépérissement de l’être, et cela bien plus rapidement que par le travail exploité. Prix fort à payer pour une once de lucidité...
N’étant attiré ni par les femmes, ni par les hommes, je crèverai seul, mais avec un sourire enfantin. Ma bite, c’est ma misanthropie, et j’éjacule dés que je peux. Aussi faut-il rappeler que vos relations hommes-femmes, c’est de la merde qui relève du commerce pur.
Il est tout à fait possible de sublimer l’instinct de reproduction autrement que par le couple ou la famille. Mettez vous à la musique, à la peinture... ou au bilboquet on s’en fout, cette époque est un amas de merde pestilentielle déféqué par les thuriféraires de la modernité et ingurgité par les réactionnaires nostalgiques. Car finalement l’humanité se divise en feux entre ceux qui se branlent sur le passé, et les autres sur l’avenir. Finalement chacun trouve un point d’appui sur le présent pour convenir qu’il est insuffisant.