Hamon, Melanchon et toute la gauche gamelle demandent la dissolution de G.I.
Ils ne la demandent pas pour l’obtenir mais pour qu’on la leur refuse.
Ça fait partie de la séance guignol.
Ce que nous pourrions espérer, c’est qu’ils commettent l’erreur de la prononcer : la dissidence deviendrait clandestine.
Cela enclencherait un deuxième front en plus du front islamo-ethnique contre le gouvernement et donc la république.
En fait, même si c’est la pire des solutions pour eux, il est certain qu’ils finiront par "interdire la dissidence" : ils ont déjà commencé.
Et donc, par paliers, la dissidence va :
élargir sa base
se radicaliser
rentrer dans la clandestinité pour se protéger.
Quand on parle d’élargir sa base on pense au nombre des anonymes : c’est un tort.
On doit penser à élargir notre base des puissants.
Nous devons convaincre les riches ou des riches que nous leur rapporterons beaucoup plus que ce que la République leur coute.
Qu’il y a les riches manipulateurs et les riches manipulés et qu’ils font partie de la deuxième catégorie s’ils n’ont pas constaté sur dix ans une augmentation annuelle de 20% de leur patrimoine, soit depuis la crise de 2008 un coefficient multiplicateur de 600% de leur capital.
Vous voyez : on a énormément de soutiens