Après le Bataclan, un père sur le chemin de la haine
30 septembre 2018 00:24, par goy pride
Certaines victimes non seulement avaient été égorgées mais avaient subit des mutilations dont la relative complexité suggère nettement un travail méthodique, quasiment chirurgical par des individus entraînés, faisant preuve de sang froid et de professionnalisme, enfin bref du travail de pro et pas celui de fanatiques hystériques sous captagon, charcutant dans le tas les mains tremblantes. Par ailleurs la non intervention des militaires/gendarmes qui se trouvaient à proximité immédiate et en grand nombre n’a pas d’autre explication que la volonté de laisser aux équipes des services non seulement le temps nécessaires pour finir leur mission mais aussi et surtout éviter que les agents des services se retrouvent confronter aux force de l’ordre faute d’avoir quitté les lieux à temps. Le prétexte que les gendarmes et militaires étaient hors de leur juridiction et donc n’ont pas eu l’ordre d’intervenir est d’une absurdité et d’un ridicule abyssal. On a des centaines de personnes entrain de se faire massacrer lors d’une attaque terroriste et la seule chose qui vient en tête à la personne responsable de donner l’ordre aux forces armées d’intervenir c’est la légalité administrative de cette intervention !
On notera que plusieurs dizaines de gendarmes du gign protégeaient Valls qui étaient à un pâtée de maison du lieu du drame, donc selon leur logique si Valls avait été une cible les forces de l’ordre auraient assisté passivement à son égorgement ? Et quelle est la logique absurde de placer des gendarmes en mission dans une juridiction dans laquelle ils n’auraient pas le droit d’intervenir ? Qui peut croire à cet argument bidon ?