Alors, c’est l’origine africaine de nos footballeurs qui nous aurait fait gagner la coupe du monde 2018 ?
Ouais, un peu comme l’Italie, quadruple vainqueur ; l’Allemagne, quadruple vainqueur ; l’Argentine, double vainqueur, l’Uruguay, double vainqueur... seul exception le Brésil mais c’est vraiment un cas à part au niveau de son peuplement.
Maintenant, la véritable question :
La composition de cette équipe (depuis d’ailleurs de nombreuses décennies) est-elle due à la performance des joueurs d’origine africaine, à la médiocrité des joueurs de souche européenne (mais comment expliquer l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne), à une volonté politico-stratégico-démographico... ?
A noter que le phénomène s’étend aux autres sports collectifs masculins et féminins confondus.
Trois contre-exemples en vrac :
 la médiocrité de l’équipe de France de rugby depuis une dizaine d’années concomitante à l’arrivée massive de joueurs d’origine extra-européenne,
 l’équipe de France de foot féminine que je regardai à l’occasion sous l’ère Bini (il y a une dizaine d’années), une équipe très peu diversifiée ethniquement mais très agréable à voir jouer...
Depuis son remerciement, changement complet de paradigme sur tous les plans, et depuis lors un jeu de merde que j’ai vite arrêté de regarder.
Le défaut de cet entraîneur aurait-il été sa réticence à se plier au dogme du multiculturalisme ?
 Enfin, l’équipe masculine de handball (au palmarès incomparable dans les sports co) composée encore majoritairement de français d’origine européenne...
Voilà, voilà, voilà...