Bref les étudiants sont utilisés comme des pions dés qu’ils essaient de s’organiser entre eux.
Moralité : ne jamais fricoter avec les associations officielles et se méfier de tout membre ex-socialiste déguisé en associatif au grand coeur.
Les divers, en particulier originaires du Maghreb et d’Afrique subsaharienne, dont beaucoup de filles, convoitent énormément les postes politiques, qui paient bien, même quand on n’a pas forcément le niveau (voir Sarközy, Hollande qui donnent l’exemple). Ils essaient d’y parvenir par le biais des associations.
Ceci mène ces ambitieux à la petite semaine à faire patte blanche pour plaire aux gens de pouvoir, même mince. Ce pouvoir les utilise contre les autochtones, auxquels, soutenus en tout, ils piquent leur place et leurs économies, sans trop se fouler, à petit ou à moyen niveau.
Ils se trouvent quelquefois récompensés d’une basse soumission par des postes bien au-dessus de leurs capacités (Sibeth machin, par exemple, et tant d’autres du même acabit).
Il est rarissime qu’un divers se positionne du côté des autochtones.
Oui mais le pouvoir est envers eux méfiant et parcimonieux. Ils sont toujours sous tutelle. Là, certains peuvent tiquer. C’est ce qui arrive à Marouane. Il se voyait chef, ben non.
Les assoces de gauche, c’est toujours noyauté, parasité, grignoté. A fuir.
Quant aux autochtones, qu’ont-ils à gagner ? Ils n’y sont jamais chefs, rarement rémunérés, sous les ordres d’imposteurs, et même de leurs laquais. Les choisis par les élus font partie du réseau des élus ou de leur personnel domestique éprouvé-testé-compromis.