" Malgré leurs parcours dramatiques, leurs histoires douloureuses, leurs souffrances post-traumatiques, les réfugiés et demandeurs d’asile ont cette volonté commune d’accéder à une formation".

J’imagine la fin de Stalker, ou celle de 2001 l’Odyssée de l’Espace,
j’imagine un homme qui arrive au bout de sa quête d’absolu, la finalité de son désir, de son espérance, au bout du bout de la nuit, de la douleur, des "souffrances post-traumatiques" (que c’est beau), le voilà, il arrive, une porte s’ouvre, une lumière, enfin, une voix imposante : que désires-tu ?

"euh... je voudrais une formation.. ou un stage"

patatra...