Au fond, BHL serait un vampire. Mettons. La gousse d’ail pour chasser le vampire ? Pas vraiment efficace à moins de la lui mettre là où je pense. Mais des récits chinois déclarent que si un vampire découvre par hasard un sac de riz, il doit en compter chaque grain et il est obligé de compter toutes les graines d’un sac renversé devant lui, et de dénouer tous les nœuds qu’il croise, même si le jour arrive, et ne peut s’en détourner que lorsqu’il a fini de les compter.
Le sac de riz protecteur est efficace et renvoie donc à son coreligionnaire l’immense Kouchner qui n’a pas fini de les compter, ses grains de riz, et nous fout le paix pendant ce temps là. Ce n’est pas le cas de son immense Christine Okrent, mondialiste fanatique, qui, en plus d’être sa femme, est belge (accablant)
Mais BHL tient surtout de Vampirella. En 1969 Warren Publishing connaît de sérieuses difficultés financières. James Warren ne se décourage pas et décide de lancer un nouveau magazine de bande dessinée nommé Vampirella. Il demande à Forrest J Ackerman d’écrire le scénario mettant en scène le personnage que Warren a imaginé. Le dessin est confié à Tom Sutton et la couverture, qui devait être à l’origine faite par Aslan est finalement réalisée Frank Frazetta. Le succès est immédiat. Jusqu’en 1983, Warren Publishing publie 113 numéros en noir et blanc de Vampirella. Parmi les artistes qui se sont succédé sur cette série Steve Englehart, José Gonzalez et Archie Goodwin sont les plus connus.
Vampirella serait ainsi née du coté de la Moldavie ou de la Valachie ou même "tout simplement" (sic) dans les hauteurs sub-carpatiques du pays où les ours apprennent aux hommes à danser et où aurait vécu son père le comte Dracula (ou Draculstein). Mais d’autres situent sa naissance en Hongrie ! Le pays de Soros !
De toutes les façons, BHL-Vampirella, le Soros "français", fait d’excellentes affaires. Plus on le déteste plus il encaisse. Connu.