Ouais... bah je dirais juste que la femme est à considérer comme une grande enfant, qu’elle en garde l’innocence et l’esprit du jeu, qu’elle articule autour du désir et du mystère, qu’elle doit susciter pour trouver un "homme reproducteur" - c’est le sens de la nature - et passer au stade de femme accomplie, c’est-à-dire à celui d’épouse fidèle et de mère aimante.
Après que les "femmes libérées" du capitalisme soient des connasses égocentriques et capricieuses, ce n’est pas de leur fait, mais de l’idéologie dominante qui les a formatées en ce sens.
Il ne faudrait pas confondre la femme naturelle, et la femme aliénée :
« Pour abattre le catholicisme, il faut commencer par supprimer la femme. Le mot est vrai dans un sens, mais puisque nous ne pouvons supprimer la femme, corrompons-là. » Vindice, haut franc-maçon, vers 1900.
« Il s’agit de transformer les âmes féminines. » - M. Bienvenu-Martin, franc-maçon, vers 1900.
« Le premier auteur de la loi qui a créé les lycées de filles, le juif [et franc-maçon] Camille Sée, a déclaré [vers 1880] que l’oeuvre de déchristianisation de la France n’obtiendrait son plein succès que lorsque toutes les femmes auraient reçu l’éducation laïque. » - Mgr. Delassus, 1910.
« La puissance du cléricalisme a été développée et consolidée grâce à la femme, et c’est même grâce à elle que cette puissance malfaisante se maintient et s’exerce. Il faut donc opposer à la femme nourrie d’idées fausses et de superstitions ridicules, la femme, la femme maçonnique, connaissant nos principes et nos aspirations et les inculquant à nos enfants. » - Grand-Orient de France, 1902.
Ma conclusion : si la femme moderne a l’esprit tordu (je généralise et je parle surtout de la métropolitaine), c’est avant tout parce que les hommes ont abandonné le combat face à la Synagogue de Satan (les frères trois points) qui a corrompu tous les esprits ! Et çà ne va pas en s’arrangeant !
S’en prendre aux femmes est toujours plus confortable.