L’UEJF porte (encore) plainte, ou l’arroseur arrosé.
14 janvier 2011 19:10, par dcal
Ce que j’apprecie en particulier chez mr Soral, c’est sa volonté et sa capacité à pousser au bout ses raisonnements. Sa liberté de ton est totalement revigorante. On en redemande. Le bloc note dans le dernier numéro de FLASH magazine en est un exemple magnifique.
Je ferai tout ce qui est en mon (petit) pouvoir pour que Alain Soral, écrivain français dissident, puisse continuer à exercer son activité de penseur et faire son travail salutaire.
Je vais de ce pas le soutinir financièrement !