Dans cette interview on peut remarquer l’oisiveté de ces étudiantes bourgeoises nombrilistes qui ont tout le temps nécessaire de manifester pour des causes qui ne concernent q’elles même. On distingue bien une lutte de classe camouflé en lutte des sexes, intitulé qui n’est qu’un enrobage mielleux pour faire passer la pilule capitaliste.
N’espérez pas voir ces femmes dans des vraies luttes sociales, contre l’immigration sauvage par exemple car elle sont bien trop peu courageuses pour mener un combat que le politiquement correct ambiant leur interdit de mener ... et puis de toute façon c’est un combat qui ne concerne pas leur classe sociale , elle sont finalement très pragmatique dans leur démarche.
Ces bourgeoises profitent allègrement de la préférence national sur l’emploi car elle occupent ou occuperont des postes à hautes études, leur seul problème étant désormais de combattre les inégalités salariale avec leur homologue masculin dans le tertiaire . Pour faire simple, c’est une lutte entre personnes obèses de fric pendant que les petites gens , elles , luttent ne serait ce que pour savoir si elles vont pouvoir boucler leurs fins de mois.
Derniers mot sur l’égalité salariale. On parle sans cesse d’égalité mais jamais de justice . Une rémunération peut être inégalitaire mais juste. Si je rapporte plus d’argent à mon patron , en contre parti lui va me donner un salaire à la hauteur de ma rentabilité et ce sera certainement inégale avec mon voisin mais pas injuste. Voila ou est toute l’escroquerie de l’égalité !
Un patron ne fait pas dans la charité et n’a absolument aucune raison de rémunérer plus un homme qu’une femme si celui ci est moins rentable. Si c’était le cas, ça ferait bien longtemps qu’il n’y aurait que des femmes dans les bureaux ... mais ce n’est pas le cas !