« Nous devons nous assurer que la vérité historique soit préservée »
Entièrement d’accord sur ce point : et s’il fallait même en rajouter encore pour peaufiner les détails, alors que tout puisse être mis en oeuvre au gré des nouvelles techniques modernes d’investigation à parfaire toute la vérité, au-delà même de celle enterrinée à Nuremberg.
Sauf que, la continuation du discours...
« C’est un problème fondamental concernant l’essence du peuple juif »
... va à l’encontre de cette vérité voulue comme absolue puisqu’elle discrimine, de fait, toutes les autres communautés qui ont morflé de la déportation, puis de l’extermination fut-elle ou non, génocidaire : au regard de tel ou tel prétexte tout aussi ignoble, cela va de soi. À moins que, (comme les tsiganes qui ne sont pas l’essence du peuple juif, pour l’exemple) les ignorer au seul bénéfice d’une entité unique, signifierait que seule la judéïté, comme celle du Christ, soit la seule à valoir comme sacrifice pour l’humanité toute entière ?
Les Trobriandais - qui ne savent peut-être pas qu’il est un mythique peuple élu sur cette planète - auront sans doute à coeur de savoir que l’on se sacrifie pour eux depuis la nuit des temps et qu’il se trouve, fortuitement, toujours un ou deux Polonais pour demander à celui qui pointe son museau après lui, de faire la queue...
Preuve en est que, pour ce qui est de l’essence du peuple juif, les citations du polonais d’origine, David Ben Gourion, concernant ses coreligionnaires d’Europe, tant en Allemagne qu’en Pologne, proposaient qu’ils pouvaient toujours attendre, qu’il n’appartenait pas à ce peuple juif.