Le niveau de langage de ce "ministre" est désolant "... comme plein de femmes " dit-elle...
Cette "féministe" s’appuie à cent pour cent sur une société d’hommes (papa, les soutiens de Macron, les lecteurs de ses romans, les vrais pontes du parti socialaud-mondialiste ) auprès desquels elle est la docilité même.
On note d’ailleurs en aparté que ces dames et demoiselles tendent à montrer le plus grand respect pour leur entourage familial mâle quand il est bien vu du pouvoir en place, et à s’en désolidariser quand cet entourage est plus ou moins persécuté (A. Soral, J-M Le Pen, de Lesquen, Vincent et d’autres...).
Dans l’ensemble, cette dame Schiappa vit bourgeoisement, comme toutes les bourgeoises du monde. On dit une chose, on fait une autre. On cache les détails gênants, on se remplit la bouche, on fréquente ses pairs, on ne se prive de rien, on fait de la lèche aux puissants, en brandissant des drapeaux dits rebelles depuis au moins 40 ans ; on éduque ses enfants de façon rationnelle tout en poussant vers le gloubi-glouba ceux des autres dès que faire se peut (les seconds pourraient bien damer le pion aux premiers).
Dans son histoire, on apprend qu’elle sait ce qui fait mal aux hommes, c’est papa qui le lui a dit.
Généralement pourtant, 2 hommes (même un seul) maîtrisent assez bien une femme déjà traînée contre un mur dans un lieu public (eh bien, et les passants ?). Surtout si l’un d’eux est rendu furieux par un coup douloureux. Les abuseurs n’ont pas tendance à faire ce genre de chose dans le métro, qui est très surveillé, caméras et tout. Et quelle drôle d’idée de lire un magazine dans des couloirs publics ?
Marlène fait-elle du roman ? C’est une bonne idée, mais alors qu’elle le fasse à ses frais, sur ses ventes.
Parce que là, elle nous fait les poches et nous casse les oreilles.