Comment l’Allemagne, 50 ans après, a remis l’Europe de l’Est au travail forcé
21 février 2018 18:46, par Lyes
Il serait bien d’etudier plus profondément quelques chiffres pour connaitre la réalité des conditions sociales actuelles que l’auteur décrit comme bonnes. Quid des redistributions de richesses sur les allemands avec 62 millions de concurrents de l’Hinterland. On connait surtout la redistribution de sous marins à l’entité sioniste et les réparations post shoatique.
Que ça soit par la diplomatie ou par la guerre l’Allemagne cet impératif d’espace vital. Que ces pays du Višegrad se prémunissent de cet impérialisme et c’est les conditions des années 30 qui se reformulent. Alors doit on se réjouir de l’impérialisme allemand ou doit on souhaiter l’émancipation économique ( donc politique) du Višegrad ? Que ces peuples se hissent à des conditions sociales acceptables et qu’ils se protègent des ravages des société occidentales. Doit on en finir encore une fois avec l’Allemagne ou faire semblant de ne pas comprendre le ressort de cette suprématie ? Doit on imiter les allemands ou se résigner à la fatalité du sort que nous réservent l’histoire et aux destinés sans doute différentes de ces deux peuples et à l’accélération de l’histoire ?
L’article ne dit pas pourquoi l’industrie allemandes n’a pas été vendue à la découpe comme l’industrie française. Les traites à la nation sont pourtant de tout les pays et surtout en Allemagne qui est une pièce maitresse de l’axe américano sioniste ( héritage des année 30 et de la 2eme guerre mondiale). S’il y a un intérêt à démanteler l’industrie française et un surinvestissement ( national et supranational) sur l’industrie allemande, c’est qu’il devrait bien y avoir des raisons objectives sur le plan socio économique et géopolitique. (Cela dit l’économie allemande est parfois frappée par la toute puissante "justice" américaine comme dans l’affaire VW.)