Scénario probable : la petite est arrachée à sa mère ou la mère de substitution (famille d’accueil). Certains enfants, vers 6 mois, ne le supportent pas, demandez au personnel des crèches. Ils hurlent, réclament, hurlent, réclament.
L’acquéreur de la fillette tente de se faire aimer : pas moyen, elle veut sa mère ou du moins un sein maternel sur lequel se calmer. Il la raisonne : elle crie. Il s’énerve, la secoue. C’est un sportif, qui croit que la volonté peut tout. Il n’aime pas cette gosse, finalement, qui n’est pas raisonnable. La secouer provoque des lésions non visibles mais une douleur réelle et permanente. La petite ne cesse de crier, n’ayant pas de mots pour alerter sur son état.
L’homme la hait de plus en plus. Il la frappe, ce qui achève de fracturer l’enfant. Il prétend qu’elle tombe dans les escaliers. On lui passe tout, c’est un homo ; et il présente bien.
L’enfant est particulièrement énergique, elle ne faiblit pas, proteste, avertit : j’ai mal ! Je veux ma mère, ou du moins une mère ! Une mère comprendra ce qui m’arrive.
Il n’est évidemment pas une mère et finira par la tuer, après, quand même, deux avertissements sévères. Qu’ont fait les services sociaux ? Pourquoi l’enfant n’a-t-elle pas été suivie après ses hospitalisations et "chutes" ?
Il y a aussi en Angleterre une espèce de rage des services sociaux de prendre leurs enfants bien blancs (et très demandés) aux Anglais des castes anciennement ouvrières, sur un prétexte ou un autre, souvent justifié d’ailleurs, pour les refiler à des bien-pensants embourgeoisés, des homos bobos par exemple. Même les grands-parents de l’enfant ne peuvent s’y opposer.