C’est une mesure minimale. L’obama se fichait du monde avec sa loi-chiottes pour tous, intégralement inadmissible.
L’obama a d’ailleurs préparé le macron. Obama était le président le plus improbable qu’on puisse imaginer : ex-drogué adolescent influencé par un pornophile, sans doute abusé, l’air paumé, à l’homosexualité occultée, compromis dans une sombre histoire de meurtre avant son mandat, ex-agent de la CIA dans le golfe, sans religion nettement affirmée, de père étranger, de nationalité étrangère (indonésienne), inconstitutionnel, diplômé par copinage, étudiant et politicien flemmard, marié à on ne sait qui par on ne sait quel tour de passe-passe, intime de Rahm Emmanuel, peu apte à s’exprimer et lecteur de prompteurs, aucune loyauté (n’a pas fait son service militaire), jouet de la CIA son vrai maître, globalement inconsistant, totalement éloigné et contempteur des groupies féminines adoratrices de sa campagne présidentielle.
Et pourtant, les malveillants l’ont fait passer à grands coups de "il est beau" (pas particulièrement) "il est noir" (ce qui n’a rien à voir avec la compétence d’un potus), "il est jeune et sympa" et "il est spécial" (ce qu’il était en effet).
Donc le macron a été lancé selon le même schéma, des boniments comparables, une fois la populace voulue bien installée, majoritairement assez bête. Un type improbable que tout pays sain rejetterait automatiquement. Face à lui, une personne peu charismatique et peu convaincante, que ses partisans avaient bien du mal à plébisciter.
Toujours les mêmes vieilles recettes. Qui boitent aujourd’hui.
Trump doit s’affirmer, il a une force.