En matière d’éducation, le seul acte de révolution nationale nécessaire dont on ait besoin est de se débarrasser du socle commun et de l’évaluation par compétences. Je parle du primaire du collège et du lycée général. Il n’y aura pas de dénajatisation sans dépeillonisation déamonisation défillonisation déferrysation déallégrisation. Qui dans ce pays sera capable de comprendre que la racine du mal se nomme socle commun ? Que ce qu’il y a à perdre c’est l’identité même de l’éducation française avant qu’elle soit totalement TAFTA compatible. Votre lecture n’est pas totalement fausse mais quand même oiseuse car elle s’entête à ne pas vouloir entendre parler du socle commun. ça doit faire 7 ou 8 ans que je le répète dans les commentaires mais je n’ai jamais lu la moindre réflexion sur cela sur votre site.
"dès qu’on touche à un cheveu des profs, c’est la guerre civile en France" c’est à croire que vous n’avez pas passé une seconde à vous intéresser à l’éducation de tout le quinquennat de Hollande... parce que les profs ont été scalpés dans le plus grand calme, vous avez pourtant relayé quelques critiques de Brighelli, mais si vous ne comprenez pas le sens de mon allusion à un certaine pratique capillaire indienne alors c’est que vous n’avez pas compris ce qui s’est passé.
Laissez-moi juste vous dire que ce à quoi vous pensez quand vous pensez au mot "éducation" n’existe même plus dans le souvenir des profs.
Un monde a été détruit.
L’école devient une entreprise.
Le mammouth crève, et la France avec.
Ce qui a été fait en 5 ans est un changement d’ADN.
L’enseignement devient une chose périphérique et au centre on glose sur l’accessoire, on laisse le management scléroser les profs ahuris et bientôt les élèves.
Vous vous êtes intéressés à l’enquête sur les climats scolaires ?
Vous devriez vous devriez réfléchir au sens de cette enquête qui a consisté à demander aux élèves ce qu’ils pensaient de leur établissement pour influencer le projet d’établissement.
Mais bon il y a une seule chose à faire pour sauver la France : détruire le socle commun.