Quant à l’accession d’Hitler au pouvoir, là aussi, vous nous confinez à l’écume des apparences, à la narration officielle. Il faut dire que c’est l’état profond qui l’a mis aux manettes, comme Macron, car il disposait des qualités et du programme qui serviraient au mieux les intérêts et le plan des oligarchies mondialistes et financières.
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Laisser à penser que c’est la démocratie, sans expliquer que la démocratie c’est toujours du vote truqué, des urnes bourrées, des paroles et des consciences écrasées, matraquées, violées, martyrisées, dans une guerre cognitive de haute intensité, c’est prendre les lecteurs ouvertement pour des quiches. Le vote pour des intérêts catégoriels, c’est aussi du flan qui masque cette réalité. Les gens votent en fonction de cette guerre cognitive qui définit les intérêts à leur place. "Les gens", ça existe ; c’est ce qui reste d’une personne après avoir subi une guerre cognitive. Ca n’est pas MK-ultra, mais les principes à l’œuvre restent identiques.
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Il est nécessaire d’assumer et de révéler que le pouvoir ne se prend pas, il s’exerce, caché, et il s’exerce sans pitié, sans remord, sans partage.
Le premier acte de résistance, c’est d’utiliser les bons mots, aux bons endroits, pour dire les bonnes phrases, pour dire la vérité.
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Cet espèce de romantisme dans la façon de décrire l’histoire, le réel, c’est un carcan gnian-gnian, ça fabrique des gonzesses et de la servilité à la tonne. C’est à ça que sert le politiquement correct.
Accepter se de faire couper la parole, ou d’utiliser les mots validés en haut, c’est accepter de se faire couper les #ouilles. La censure, c’est une castration qui nous dépossède de nos forces de vie, de notre volonté.
Si je comprends la nécessité d’être consensuel pour ne pas heurter les esprits infantilisés, il convient aussi d’admettre que cela constitue des limites qu’il faut franchir pour continuer d’évoluer, et qu’un langage cru et brut est vital. Il y a une passerelle à imaginer pour passer de l’un à l’autre, pour hisser les esprits et pour les armer sans apeurer les puceaux, une période d’adaptation et de progression.