BHL à Mossoul : le sayan raconte sa guerre chez Zemmour & Naulleau
5 mars 2017 15:08, par Pierre
Ce que BHL veut démontrer dans ses films ne concerne ni les kurdes, ni les bosniaques, ni les libyens, ni les ukrainiens mais sa propre personne.
Il se met en scène lui même pour montrer ses grandes qualités humaines qu’il a le devoir de mettre au service des opprimés du monde entier.
Son empathie, sa capacité à ressentir les difficultés des autres peuples semble immense, mais la souffrance des petites gens de race blanches bousculés dans leur vie de tous les jours, dont les traditions millénaires sont foulées au pied le laissent de marbre.
Peu importe que ces actions sèment le chaos, disperse des armes qui tombent aux mains de terroristes, provoquent la noyade de 10 000 personnes en méditerranée en trois ans. L’enfer est pavé de bonnes intentions.
Avec un physique de comte de Transylvanie auquel il ne manque que la cape, il s’abreuve, se nourrit, se met en valeur grâce à la folie meurtrière des hommes dont il n’attend qu’un cadrage de caméra sur sa mèche au vent et sur son bon profil avec quelques cadavres en arrière plan.
Son objectif est probablement d’obtenir le prix nobel de paix
BHL nous en apprend peu sur ces conflits mais beaucoup ce qu’est devenu le monde.
Son meilleur ami est son miroir et il reflète notre société.