« BHL n’est pas souverainiste », lance la présentatrice lors du portrait de l’écrivain dans l’émission Z&N du 1er mars 2017 sur M6. Ce n’est pas vrai : BHL est 100% souverainiste israélien. Décidément, quand on parle de BHL, les journalistes français commettent plein de petites erreurs qui font, à la fin, que le public croit avoir un ami de l’humanité, alors qu’il s’agit de l’agent de l’Empire pour la France.
Enfin, il est bon de se « faire » un BHL de temps en temps, comme on se fait un ciné ou une pizza, juste pour savoir quels sont les derniers ordres venus de l’oligarchie. La vanité du bonhomme, tel le corbeau avec son claquos dans le bec, permettant de préciser la ligne de l’idéologie dominante. En ce moment, par exemple, en géopolitique, la ligne est simple :
Il faut bouter Daech en dehors de Mossoul (pour l’envoyer en Syrie occuper le Nord du pays sous contrôle turco-américain), soutenir les Kurdes (qui ouvrent grandes les portes d’un Kurdistan en gestation au renseignement militaire israélien), et continuer de saigner Assad (pour préparer le Grand Israël, car le territoire volé actuel ne suffit visiblement pas). Vous l’aurez compris, les ajouts entre parenthèses sont de nous.
Voici donc, pour la 153 666ème fois, BHL à la télé française. Penser, lors du prochain gouvernement qui dirigera la France, à pondre une loi pour interdire à un agent étranger de pousser ses pions sur notre territoire. Une proposition qu’on ne voit malheureusement pas dans la majorité des programmes. C’est d’ailleurs ce qui fait la différence entre les vrais et les faux programmes français.
BHL vient faire la promo de La Bataille de Mossoul, un film qui est diffusé sur Arte, la chaîne dont il est, pour la 6e fois consécutive, « élu » président du Conseil de surveillance. Surveillance du citoyen non conforme, s’entend. En entendant le titre de son docu-fiction – BHL ne fait que du docu-fiction – on a eu un frisson car on a cru entendre La Bataille de Moscou. C’est peut-être, au fond, ce que cherche cet agent isréalo-américain.
« Les personnages de ce film souhaitent un Kurdistan indépendant ou autonome à l’intérieur des frontières de l’Irak... Il est question de créer dans cette région un pole de stabilité, de démocratie, de laïcité, d’égalité entre les hommes et les femmes... »
On retiendra de cette émission l’étonnant « Hollande a été un très grand président ». Il doit s’agir d’un homonyme. Ou alors le président de la République française est le shabat goy de l’agent israélo-américain.
Un excellent résumé de BHL, sur E&R :