"c’est pas demain la veille que les Américains vont nous le piquer, comme ils nous ont piqué « l’art moderne », pour le vider de sa substance, et en faire un produit commercial infect."
Les Américains n’ont pas "piqué l’art moderne".
L’art moderne est une arnaque juive, donc nomade, un monopole idéologique, qui sous-entend notamment l’idée de "progrès" en Art, une preuve en soi de sa nature de carambouille hors-sol.
Mais qui a trouvé chez $am l’ultra libéral un terreau fertile.
Juifs les critiques, galeristes, collectionneurs, institutionnels, un peu les artistes, parce qu’on s’est surtout servi des goyim (Picasso étant l’exemple ultime, le petit coq de la basse-cour de l’art moderne, qui a dû comprendre après guerre que le fascisme, c’est pas "Guernica", lorsqu’il a été dégagé par l’expressionnisme abstrait des ashkénazes ayant fui l’Europe) étant donné que le talent des intéressés réside surtout dans l’arnaque.
Non, aux États-Unis, il y avait aussi de la Peinture goy, américaine, pas "moderne", mais plutôt "rance", nauséabonde", "zeurléplusombre" :
Thomas Hart Benton, Grant Wood, Edwrad Hopper, Andrew Wyeth...*
D’ailleurs, rien que le nouvel accrochage (23 octobre 2013 - 26 janvier 2015) des collections permanentes du Centre Pompidou sous le titre "modernités plurielles 1905-1970" avait suscité des réprobations de la mafia, qui voyait son monopole, sa version officielle lui échapper (un peu, mais c’est déjà "trop").
*ceux qui verraient de la "modernité" chez ces artistes se trompent : la preuve viscérale étant qu’ils n’ont pas été dépossédés de leur savoir-faire, ils savaient peindre, la base.
"Du passé, faisons table rase" : à qui profite le crime ?
Indice : le "Devoir de Mémoire", bien connu ici.
Dépossession, débilisation, monopole, arnaque totale, signée.