(suite)
Les gendarmes avaient compati à la paranoïa de la dame. La chose qu’ils ’ont reproché c’est de souvent me rendre dans ce magasin, et d’insister auprès des vendeuses en les draguant, ce qui était un pur mensonge.
Là où j’ai insisté, c’est pour acheter des objets du magasin, alors que la dame ne me croyait pas quant à la véracité de mes papiers, et était tellement parano, qu’elle pensait en voyant mon teint, que je serais un délinquant.
En fait, elle a profité du fait que je venais souvent dans le magasin et de mon insistance pour acheter des choses sans vouloir être victime de délit de faciès, pour dire que je venais draguer les filles qui y travaillaient.
Il y aujourd’hui une misère sexuelle et affective qui mine notre société. Et ces femmes ont un comportement et une pensée tellement paranoïa et déplorable que, c’est d’autres personnes (les hommes qui viennent parfois les aborder. Dans mon cas, ce n’est pas ça) qui risquent parfois très gros (perte de travail, condamnations, amendes lourdes)