Pierre Rabhi : "L’alimentation est devenue suspecte"
24 octobre 2016 10:52, par Starkamanda
Globalement dans les grandes villes ceux qui sont les plus malheureux sont ceux qui refusent de suivre la tendance.
Il est fondamental quand on a eu stress au boulot ou un métier usant d’avoir une vie sociale à côté : familiale, amicale, associative. En général l’alimentation joue très peu sur un état d’esprit sauf cas extrême.
Paris est l’une des villes où le taux de suicide est le plus bas. Chacun trouve sa case : communataire, style de vie ( métalleux, bobo, footeux, etc ).
C’est la capacité du peuple français à gérer son stress qui l’a mené dans le top des pays les plus riches du monde. C’est cela qui pousse à la prise de risque et donc à l’innovation.