Pulsion d’achat, entre plaisir et culpabilité
25 juin 2016 10:06, par réGénération "ces comportements n’ont rien de pathologique" : exact, ce n’est que l’égocentrisme, l’individualisme, qui ne fait que s’exprimer ;
"se créer des émotions positives" : oui et non, car le désir prend fin quand l’objet du désir est acquis. Ce n’est pas l’objet du désir en lui-même qui est important, mais le fait de faire taire l’ego - toujours réclamant - par cet achat compulsif ;
"la personne “accrochée” à l’achat compulsif ne peut plus s’en libérer." : FAUX, il suffit pour s’en libérer, de comprendre comment fonctionne l’esprit humain, dualiste par défaut (libre-arbitre), en conflit constant entre ego et besoins réels - les psy, bien souvent empêtrés dans leurs concepts ne vous seront d’aucune aide ;
"toujours provoqué par des stimuli extérieurs" : exact, mais quand on a compris que c’est l’ego qui guide vos choix, alors on ne tombe plus dans le piège ;
"la notion de « négociation intérieure »" : on ne négocie pas avec l’ego, on le fait taire, en s’occupant autrement : lecture, sport, relations, activités créatrices... ;
"Autant d’influences qui expliquent peut-être pourquoi 50 % des personnes qui ont « fait les soldes » regrettent leurs achats" : preuve que ces personnes n’ont pas considéré leurs besoins objectifs, mais se sont soumises à la subjectivité de leur égocentrisme ;
"Se prémunir contre les « crises d’achat »" : l’achat compulsif provient exclusivement d’un besoin de sécurité déclenché par un sentiment diffus de peur - peur qui est en fait cette méconnaissance de soi-même ;
"il s’agira de se prémunir contre les « crises d’achat »" : FAUX !!! il s’agit de se comprendre soi-même, comment l’ego veut constamment prendre le dessus sur le rationnel - quand on sait bien contrer ces réflexes égocentriques, alors on retrouve la liberté d’agir ;
Il convient aussi de distinguer les moments où les achats obéissent à une répétition irrépressible, quasi “mécanique”, plutôt qu’à une réelle envie de se gratifier : FAUX ! l’achat compulsif est forcément un acte pour se gratifier, soit pour satisfaire l’ego, soit pour le paraître, mais là aussi c’est la satisfaction de l’ego ;
La qualité du plaisir retiré de l’achat : l’achat ne devrait satisfaire que le besoin et non le plaisir, car le plaisir c’est l’ego ;
Par quel autre plaisir remplacer cette frénésie de shopping ? : PIÈGE CONSUMISTE ! Le Figaro vous incite donc à satisfaire votre ego avant tout, en dépit de toute morale et de toute valeur supérieure.