Un jour en France : jeudi 19 mai 2016
20 mai 2016 11:05, par nouvelle du cielQui serait désireux d’être détourné de toutes les routes du monde, à moins qu’il n’en comprenne la réelle futilité ? N’est-il pas nécessaire qu’il commence par là, pour chercher plutôt une autre voie ? Car tant qu’il voit un choix où il n’y en a pas, quel pouvoir de décision peut-il utiliser ? La grande libération de pouvoir doit commencer en apprenant où il peut réellement être utilisé. Or quelle décision a du pouvoir si elle est appliquée à des situations qui n’offrent rien ? Apprendre que le monde peut offrir un seul choix, quelle que soit la forme qu’il prend, c’est commencer à accepter qu’il y a une réelle alternative. Lutter contre cette étape, c’est aller à l’encontre du but que tu as ici. Tu n’es pas venu pour apprendre à trouver une route que le monde ne contient pas. La quête de chemins différents dans le monde, n’est que la quête de différentes formes de vérité. Et cela empêcherait la vérité d’être atteinte. Ne pense pas que le bonheur se puisse jamais trouver en suivant une route qui s’en éloigne. Cela n’a aucun sens, et ce ne peut pas être la bonne voie. A toi qui semble trouver ces mots trop difficiles à apprendre, laisse moi répéter que pour atteindre un but tu dois aller en sa direction et non en t’en éloignant. Et chaque route qui mène dans l’autre sens ne fait pas avancer dans la découverte du but. Si cela est difficile à comprendre, alors ces mots sont impossibles à apprendre. Mais alors seulement. Car autrement, c’est le simple enseignement de l’évidence. Il y a un choix que tu as le pouvoir de faire quand tu as vu les alternatives réelles. Jusqu’à ce que ce point soit atteint, tu n’as pas le choix, et tu ne peux que décider comment tu pourrais faire le meilleur choix pour te tromper toi-même à nouveau. Pardonne-toi ta folie, et oublie tous les voyages insensés et tous les buts sans but. Ils n’ont pas de signification. Tu ne peux pas échapper de ce que tu es. Car Dieu est miséricordieux, et Il n’a pas laissé Son Fils L’abandonner. Sois reconnaissant de ce qu’Il est, car en cela est ton évasion hors de la folie et de la mort. Tu ne peux être trouvé nulle part ailleurs que là où Il est. Il n’y a pas de chemin qui ne mène à Lui.