Les actes d’intrusion dans la vie privée du citoyen ordinaire vont se poursuivre en dégradé à commencer d’abord par les plus démunis puis, de file en aiguille, en y accrochant les bénéficiaires des allocations issues des régimes de la protection sociale et, in fine, en y incluant de manière générale les salariés et les fonctionnaires des trois fonctions publics, excepté les parlementaires, les membres du gouvernement, les hauts fonctionnaires, les dirigeants des multinationales et des institutions financières et bancaires, ainsi que les membres du Conseil Constitutionnel et ceux les membres des Autorités Administratives Indépendantes.

Bref, le contrôle tous azimuts contre les faibles (gueux, serfs, va-nu-pieds, plébéiens) est normal et nécessaire pour la majorité des français car il s’agit de lutter contre la "FRAUDE" d’en bas alors que celle d’en haut dont les auteurs bénéficient le plus souvent d’un impunité de fait est sans commune mesure, moralement insoutenable et exempte de contrôles réels ou efficaces.