Roumanie : 160 ans après son abolition, l’esclavage des Roms reste une plaie ouverte
24 février 2016 08:59, par Marin
Je suis Roumain et je vis en Roumanie.
mettons les choses au point :
1. L’article est l’écho à la maigre manifestation de rue (organisée par un "ONG" chère à Soros et abonnée aux fond UE) contre l’arrestation et mis en examen des 2 députés Roms pour ... avoir siphonner les fonds UE destinés à l’intégration ... des Roms
2. Dans l’article original, vous avez tous les ingrédient pour juger d’où émane cet attaque (au portefeuille, à l’Eglise, aux Roumains) ; je cite : "C’est une grande honte - historique, contemporaine et personnelle. La honte d’un peuple d’avoir détenu des esclaves, la honte des gens d’aujourd’hui qui semblent être atteints d’amnésie"
3. Les Roms qui veulent, s’intègrent sans problèmes (1.8 millions sur 2 millions). Les foyers générateurs (pour toute l’Europe) des délinquants Roms sont les quelques noyaux dures (une dizaine des ghettos) tenus main forte dans un tel état, afin de profiter des fonds UE d’intégration et de l’argent sale, par quelques Roms bien hissés dans la "haute société" et les ONG. 2 d’entre eux viennent d’être enquêtés.
4. Le nom de "Rom" à été "volé" aux Roumains par une ruse (en raison que dans leurs langue ça veut dire "homme"), en 1990 afin de semer la confusion entre Roumains, Roms et Romans et pour mieux infester L’Europe. Ils sont Tsiganes, point. C’est comme les gitanes français demandaient de s’appeler "francs" en raison que dans leurs langue ça veut dire "homme"
5. Très bien dit dans l’autre commentaire - Un énième article "mémoire-pleurniche" avec pour message voilé : "Les pauvres Roms, ils ont tellement souffert...laissez les faire ce qu’ils veulent dorénavant..."
6. Dieudonné dixit : "un petit billet à gratter.. ?"