À Lyon, le cardinal Barbarin relève le père Benoît de ses fonctions
29 novembre 2015 08:59, par Marie59Ce vilain petit canard a été prié, par sa hiérarchie, de rentrer dans les rangs. Ça faisait désordre ! Mais quelle idée, voyons, de faire ainsi peur aux gens en leur parlant du diable et de l’Enfer ? C’est tabou. De nos jours, on l’a occulté, tout comme la mort... Imaginez-vous un seul instant s’il y avait un massif réveil des consciences ? Si les gens se préoccupaient, dès à présent, de leur futur éternel ? Ils reviendraient à une vie plus sobre, plus simple, limitant leur superflu... Cela est vu d’un très mauvais œil par le Grand Capital (notamment l’industrie de la pornographie, de l’alcool, du tabac et...des armes). Service rendu à Mammon par quelques grandes familles franc-maçonnes qui tirent les ficelles de ce monde... La Franc-Maçonnerie qui a infiltré l’Église aujourd’hui, jusqu’au Vatican... Et le drame est là, qui se joue en ce moment, sous nos yeux, en pleine lumière, au vu et au su de tous ! Rome s’accommode des hérésies de certains de ses cardinaux, mais supporte mal les "pas assez progressistes" qui sont sanctionnés sévèrement. Les Franciscains de l’Immaculée, par exemple, en ont fait les frais. Ils ont eu le tort de continuer à dire la Messe en latin et, oh horreur ! de porter, cousue sur leur soutane, une Médaille Miraculeuse de la Sainte Vierge, qu’ils ont été priés d’enlever. Ceci, entre autres persécutions que subissent ces pauvres moines...
Et moi, je me demande qu’est devenue mon Église ? Assurément, elle ne se trouve plus au Vatican... L’Église, aujourd’hui, c’est ce petit reste qui prie, jeûne et veille. Une journaliste, bien informée, a très bien décrit ce malaise dans cet excellent article, malaise que tous les catholiques authentiques ressentent aujourd’hui :
"En Mars 2013, j’ai assez bien compris ce qui se passait, et je savais déjà que le temps de me tenir à distance et de rendre compte des évènements touchait à son terme. Je l’ai ressenti très fortement sur la Piazza, en cette froide soirée de crachin, bien qu’il fallût encore du temps pour que les détails viennent s’y ajouter. Je savais alors que rendre simplement compte de ce qui se produisait, littéralement devant moi, n’était plus la réponse appropriée. Une des plus fortes certitudes que j’eus ce soir-là, c’est que quelque chose de nouveau commençait, la phase suivante..."
À lire ici :
"Toi, fou que tu es, pose ton I-Phone, car ce soir c’est ton âme qui t’est demandée"