Il manque ce portrait :
> Manuel Carlos Valls Galfetti, 53 ans, né en Espagne, 1er Ministre de fronce alors que naturalisé français depuis 1982, seulement licencié d’histoire et surtout « éternellement lié à Israël quand même !!! » Aux origines catalanes de très haute bourgeoisie sous Franco, à la pensée changeante « Ni maître, ni Dieux mais de l’avant-garde quand même !!! », pro palestinien jusqu’à son mariage en 2010 avec Anne Gravoin et désormais sioniste éclairé, pur produit de la sociale démocratie du tournant de la rigueur, il n’a pas besoin de travailler pour financer sa carrière, se contentant d’épouser la pensée unique et de lécher le cul du premier maître qui se présente. Son aplomb, son ambition démesurée, son sourire de faux-cul, et son histoire passée totalement réécrite par le communiquant Stéphane Fouks et le sérénissime maître du grand orient Alain Bauer l’aideront – à imposer « absence totale de personnalité, manque inquiétant de vocabulaire (“république”, “démocratie”, “valeurs”, “antisémite”, “quand même !!! Et merde quand même !!!” bref 10 mots tout au plus) et donc autoritarisme », mesure sur son piédestal de 5 à plus de 30 m de haut pour 90 kg de muscles (poids moyen des gardes du corps qui l’accompagnent à chaque instant de plus en plus nombreux), il déteste la quenelle et l’ananas (s’en est trop pris dans l’fion et dans sa face), persécute le valeureux Dieudonné et les jeunes quenelliers impertinents notamment jusqu’au Conseil d’Etat,.... des arrestations arbitraires, ne sait pas encore exprimé sur le goudron et les plumes, évite le débat public avec Alain Soral pour éviter la déculotée, anti raciste averti demande d’ajouter « quelques blancs, quelques white, quelques blancos » dans son ancien fief d’Evry, il « prie couramment la Shoa » tout en suçant goulûment jusqu’aux gerçures des babines le président de la raie-publique fronçaise Cukierman.