Pour faire remonter les cours,il a fallu d’une part que la Chine augmente le seuil des réserves fractionnaires des banques, et d’autre part qu’elle augmente les taux de rendement pour attirer les fonds de milliards de dollars vers de nouvelles valeurs.
Mais ce n’était pas encore suffisant,puisqu’on a assisté à un effet yoyo, puis à la dégringolade.
Alors il a été question de commencer à relever les taux des fonds fédéraux US qui étaient restés presque à zéro depuis le crash de 2008, puis un second signal a été envoyé aux marchés, que s’il le faut on renoncera à baisser les taux et qu’au contraire, la FED est prête a ouvrir le robinet.
L’intervention de William Dudley, qui est par ailleurs le numéro deux de la Fed a entrainé un gain énorme pour les trois principaux indices ; Dow, Standard & Poor 500, et le Nasdaq.
Voilà comment fonctionne la carambouille.
Il faut que le drogué reçoive son shoot.
Tout ceci continue a enrichir une infime minorité d’ultra-riches.
Pendant que l’économie réelle se voit privée de fonds nécessaires et d’investissements, aspirés par le rendement du marché.
C’est d’une simplicité désarmante,tout ce cirque devrait être au tapis, mais dès qu’il y a une tendance à aller vers la vraie réalité c’est à dire la chute, on met les pognes sur les rotatives.
La planche à billet, bien sûr on fait cela de façon plus discrète maintenant, parce qu’à force ça pourrait inquiéter.
C’est uniquement subordonné au quantitative capiche ?