L’espoir réside encore dans la Russie de Strelkov, qui après l’empoisonnement de Poutine, a pris le pouvoir par un putsch rapide et peu violent, a réglé les problèmes ukrainiens, est en train de purger le Caucase de Daesh, assiste activement la Syrie et s’approche d’une alliance avec Algérie et Egypte dans cette lutte.
Mais Strelkov ne parlera pas de "nos partenaires européens" comme le faisait Poutine.
Il a tout le support de la Chine.