L’Arabie saoudite doit 3,7 millions d’euros aux hôpitaux de Paris
5 août 2015 21:00, par Hector
Si le ’prince’ saoudien et sa tribu ne paient pas leurs ardoises, c’est que les modalités d’accès aux soins médicaux dans l’Hexagone datent d’une lointaine époque où l’expression ’bien public’ avait encore un sens dans une société identitairement homogène.
D’autre part, en ne réformant pas ces modalités, c’est l’Etat qui incitent les clients du système médical à ne point payer ou à oublier de régler. Tandis que contre ’son’ propre peuple, l’Etat euro-hexagonal est sans pitié, le moindre retard en tous domaines (professionnel, fiscal, etc.) est aussitôt taxé.
Donc, l’ennemi ce sont les zélus, pas les étrangers, sauf quand ces derniers se font les complices plus ou moins conscients des dialectiques sophistiques des premiers.