Retour vers le futur avec la famille Haziza
23 juin 2015 21:19, par Georges 4bitbol
On ne peut qu’être sidéré par le portrait du père Azziza par le rejeton : en faire un homme humble, respectueux, souffreteux, distancié et fragile est violemment démenti par le visionnage des comportements brutaux (interview de Cheminade, coup de pied de l’âne au garde du corps de Dieudo, menaces de casser la gueule au journaliste E&R..), grossiers (doigts d’honneur au public, injures...) du pseudo-journaliste extrêmo-sioniste bardé comme un dindon gavé de haine et d’invectives.
Le pathos du rejeton pue la pose et la prose destinées au tribunaux où "l’agnelet" père aime à traîner tout un chacun ayant eu l’heur de déplaire, le double salto sur le tiroir caisse n’étant pas éloigné des motivations, assuré de la soumission des fonctions régaliennes de l’état à la cause sioniste et ses représentants les plus virulents.
Le rejeton aurait pu faire larmoyer dans les chaumières sans la cruauté d’internet et des vidéos sans aucune ambiguité sur la vraie nature d’Azziza.
Concernant l’arrière grand pépé Polonais Majloch, objet du "délit", aucune preuve n’est vraiment claire dans ce pensum volubile, grandiloquent et larmoyant à vocation soporifique.
Remarquons, néanmoins, les insultes et grossièretés récurrentes dont l’impétrant émaille son verbiage amphigourique, qui démontrent l’incapacité intellectuelle et lexicale de ce gnafron à gérer la haine et la violence qui l’habitent. Si héritage est à réclamer, c’est bien celui-là.