Le crétinisme procédurier infatigablement à l’assaut de l’irrémédiable. Avec comme corollaire l’empilement infini des obligations, des interdictions, des contraintes, des demandes d’autorisations, de leurs perpétuelles demandes de renouvellements. L’existence considérée comme le tout premier des délits a réprimer. Et au sommet de l’empilement pyramidal des injonctions et autres mises en demeure, le psychopathe en col blanc, inamovible, irresponsable, qui ne sait même plus comment servir sa névrose de domination tant est vaste le champ d’action qui lui est laissé. Le tout alimenté, sous peine de mise à l’encan, par tout ce qui est soutiré aux victimes en pataugeant au quotidien et dans le détail dans ce qu’on peut de moins en moins appeler leurs ’vies’.