Un homme abattu au commissariat de Joué-lès-Tours, le parquet antiterroriste saisi
21 décembre 2014 09:39, par réa
On est frappé, dans ce pays, d’une impossibilité d’assumer l’Ici-Maintenant et sa Réalité. On s’installe donc dans le déni d’expression. Quelle est cette réalité ? Si on veut être objectif on énoncera les faits dont il est question de la manière suivante : " Un Burundais naturalisé Français, âgé de 20 ans, délinquant multirécidiviste, bien connu des services de police et probablement harcelé jusqu’à l’exaspération, par des policiers exaspérés eux-mêmes par l’attitude d’une ’justice’ qui relâche continuellement le délinquant dans la nature, s’est rendu dans ’son’ commissariat, armé d’un couteau, poussé par les pulsions de meurtre qu’a induit sa situation dans ce Pays. L’évènement est transformé à dessein en acte terroriste parce qu’ingérable sous un autre chef d’inculpation encore qu’habituel et malheureusement ’logique’ étant donné le contexte.
Si on veut pousser l’analyse plus loin on doit admettre 4 victimes de l’irresponsabilité et peut-même pire encore, de ceux qui ont ’organisé’ sciemment le marasme de la société Française avec ses conséquences quand elles sont amenées à la dernière extrémité puisque qu’il y a mort d’homme. Il faut évidemment s’attendre à ce que ce genre de chose soit de plus en plus fréquent. A chacun selon son dû ; que tout ce sang retombe sur la tête de ceux qui ont directement et indirectement provoqué ce massacre. Nous voilà donc avec les ’antisémites’ de Créteil et les ’terroristes’ de Tours...en présence de dénis de réalité délirant.