L’existence d’associations, quand elles vivent sur l’argent mort de la ponction fiscale est de la violence et un abus pur et simple. Ainsi, des individus qui s’autoproclament en droit d’intervenir de manière ou d’autre dans l’existence de leurs compatriotes, non contents de leur imposer leurs principes ou leurs ’actions’ quels qu’ils soient, et sans que généralement personne ne leur ait rien demandé, et a fortiori sur l’existence de leurs enfants dans ce cas ; le font en alourdissant le prélèvement de l’impôt à leur profit. D’accord ou pas avec les objectifs de ces associations, le ’contribuable’ se voit spolié d’une partie de ses revenus pour faire exister ces violences et en être, de plus, souvent victime par ce dont elles le privent de Libertés et de choix personnels. La prolifération invraisemblable de ces entités dit assez ce qu’elle représentent pour un pouvoir pseudodémocratique en tant qu’elles encouragent, cautionnent, participent, de ses usurpations et des agressions perpétuées pour perdurer. La tyrannie, s’en sert, s’en justifie, s’en aide, pour s’imposer. La loi de 1905 sur ces parasites est une calamité pour la société Française et cette calamité n’a tant de pouvoir que parce que c’est l’impôt qui l’alimente jusqu’à parfois la gaver.