Sans avoir fait entendre une seule arme et après avoir recherché sans cesse le dialogue, Poutine et les siens sont en train de gagner la partie.
Pour le bonheur de tous.
Cela avec humour : concours international de confiture et biathlon de chars d’assaut (la compète de char, faut déjà y penser, très original et grandiose : mieux vaut jouer avec ces machins là que de faire ce que l’on a vu de l’autre côté de la frontière). Très bon, très drôle...
La déconfiture de Kiev après ses meurtres, ses démolitions de cinglés, son attentat sous faux drapeau raté qui lui revient en plein dans le nez, son armée qui se débine, démoralisée : un vrai bonheur.
Plus le pied de nez pour finir : le convoi humanitaire avec ses 200 camions blancs à la queue le leu, là encore, toujours aussi grandiose et sûr d’eux : le ballet ne pouvait être mieux orchestré.
Obama Kiev, BHL, les voilà tous sidérés et ridiculisés ! Obligés de laisser faire : l’humiliation totale.
Face aux atrocités de Syrie, de Gaza et d’Ukraine, c’est l’arme fatale, pourtant, une fois de plus, pleine d’humour :
Les voilà cuit à point.
Du grand art.
Le N.O.M. et le nouveau siècle Américain, qu’en reste-t-il ?