Le salaire minimum augmente de 20% en Bolivie
2 mai 2014 18:25, par Triple AIls ont de la chance, en Bolivie, au Venezuela, d’avoir une gauche au pouvoir, nous en France c’est l’extrême droite, le pognon, les augmentations, les profits, tout ça, c’est pour les déjà riches, les déjà nantis, les banques, les copains de tout ceux là et bien sûr, les politicards, aux ordres, le doigt sur la couture...mais bien récompensés. C’est d’ailleurs l’extrême droite, qui finance le jeu politique "démocratique" et "républicain" d’alternance, décide du poulain qu’il faudra élire, sur lequel il faut miser...lequel il faut diaboliser, écarter, etc...
L’extrême droite française se réunit de temps en temps, au Dîner du Siècle, en Loge maçonnique, certains extrémistes sont parfois convoqué par l’extrême droite internationale, le Bilderberg, la Trilatérale ou le Cfr , afin de s’assurer de la parfaite collaboration de ces derniers, avant de leur donner un poste important dans leur pays...En tant que "socialiste ouvert", M. Valls avait été invité par le groupe Bilderberg,en 2008, "afin de lui ouvrir les yeux sur certains points". Il n’était, alors, probablement pas assez d’extrême-droite...il a fait des efforts depuis, il s’est bien repris...et a obtenu le poste important.. ! (En plus d’avoir donner aux riches la garantie qu’ils le seraient plus encore, il a retourné sa veste et changé de slip concernant son pro-palestinianisme supposé et donné des gages à la Maison Mère, à laquelle il s’est découvert une passion éternelle...).
Pour nos médias d’extrême droite, le Venezuela et la Bolivie sont pour l’un, une dictature, pour l’autre, en passe de le devenir...et nos médias, ou la plupart des journalistes se disent à gauche, ne relaieront pas ces informations...comme il relaient, avec un zèle peu commun, les exploits de l’extrême droite dans ces pays, les faisant passer pour des victimes "de la répression".
La France est une dictature qui ne dit pas son nom, ou tous les efforts sont fait pour que les riches ne perdent pas d’argent mais en gagne et où la toute puissance, la domination de la banque est un objectif, une mission, un but !
Ici, c’est pas le peloton d’exécution en pleine nuit, ni les arrestations sommaires, ici, on préfère le harcèlement judiciaire, le contrôle fiscal et tous les petits emmerdements pour que vous finissiez dans la déprime et que vous vous mettiez la balle vous-même, ou que vous vous soumettiez...Regardez les Bigard, Debbouze comment ils sont rentrés dans le droit chemin, sans menaces "violentes", proprement dites !