Plutôt que de mettre en cause ce qui nous arrange au gré de ce que l’on veut dénoncer, il serait sans doute opportun de s’interroger sur l’immense pouvoir de diffamation de ceux qui se parent du titre de "journaliste" espérant ainsi cacher leur médiocrité.
Si la pitoyable chroniqueuse du point avait fait son travail, qui consiste à relater l’information et non la fabriquer, si donc elle avait un tant soit peu cherché à vérifier ses informations plutôt que de se contenter d’asséner pour vrai des confidences de concierges, elle aurait su que M. Azibert n’appartient, ni n’a jamais appartenu à la GLNF.
La GLNF a immédiatement publié son démenti, au demeurant parfaitement vérifiable puisque, comme toute obédience déclarée en Ass. Loi 1901, la liste de ses membres peut être vérifiée à tout moment par toute autorité compétente.
Ce double comportement de "je ne sais rien, mais je dirai tout" d’une part et des roquets qui aboient en exhibant leurs dents de lait d’autre part, mais surtout cet empressement à vouloir lyncher à la faveur de la moindre rumeur, me semblent bien plus grave et dangereux.