Conférence d’Alain Soral au Luxembourg
21 février 2014 10:13, par Pierre PetersCher Monsieur Tyler,
Les insultes et l’arrogance ne sont pas des arguments. Si vous êtes tellement mal à l’aise dans notre pays, restez chez vous. Personne ne vous force à venir. Et ces phrases "que serait le Luxembourg sans les étrangers, sans l’ouverture des frontières ...." on les entends du matin au soir de la part des étrangers qui viennent exploiter nos ressources (la terre, la nature), qui nous imposent leur langue et leur mentalité. On entend ces phrases de la part de ceux qui profitent de cette immigration et de cette migration insensée. N’est-ce pas de l’oppression, de la colonisation ? Vous avez votre valeur, apparamment le fric si je vous ai bien compris, c’est votre droit et votre problème. N’y a-t-il donc pas ou plus de fric chez nos voisins ?
Moi je suis attaché à d’autres valeurs.
Je ne veux pas que des étrangers viennent placer leur argent sale au Luxembourg, blanchir leur argent dans l’immoblier car cela ruine notre nature. Ils font construire en renchérissant jusqu’à 30% nonobstant le fait qu’ils n’arrivent pas à louer dans l’immédiat pourvu qu’ls puissent cacher leur trésorerie à l’administration fiscale de leurs pays respectifs. Même s’ils doivent signer devant notaire que l’argent ne provient pas du blanchiment d’argent ou du terrorisme, rien n’est contrôlé ni vérifié. On signe, on a rempli son obligation vis-à-vis des États-Unis et c’est tout. Or, de ce fait, notre espace vital et celui des animaux se rétrécie à vue d’oeil depuis des décennies avec une accélération impressionnante ces dernières années. Nous sommes noyés dans le trafic automobile à outrance. Une avalanche de voitures françaises qui s’étire jusqu’à Metz, une file de voitures belges qui s’étire jusqu’à Habaye et un peu moins du côté Allemand et cela chaque matin et en sens inverse le soir, tous les jours. Et je suis d’accord avec Marine Le Pen qui se félicitait de la lucidité du vote des Suisses.
Quelle est donc la plus-value pour le Luxembourg pour autant que vous reconnaissiez que le Luxembourg est une nation et un pays indépendant ? Je persiste donc à dire, nonobstant le risque de la prison qui me guette, que nous sommes devenus un pays opprimé dans lequel les Luxembourgeois conscients et responables n’ont plus aucune liberté. Nous sommes forcés à nous soumettre à la dictature des étrangers et de la Commission UE et à leurs vassales. Votre commentaire, votre arrogance, votre mépris pour les Luxembourgeois et pour notre langue en témoigne. Nous sommes devenu très pauvres. Pierre Peters