Espérons que cette pétition qui rend compte du mépris et du rejet des Français envers les journalistes par trop incompétents et/ou partiaux ne nous privera pas du meilleur d’entre eux : Monsieur Ziza.
Quelle perte accuserions-nous en étant privés de l’inénarrable Monsieur Ziza dont on ne sait ce qu’il faut admirer le plus : l’élégance de son majeur main gauche, l’orthographe aléatoire ou la culture aussi chétive que le commissionnaire est adipeux.
Mais rassurons nous, le Paf est rempli de ces joyeux ploucs et de ces admirable pouffes sans lesquels l’information remplacerait la propagande.