Le dessinateur devrait prendre Thierry Levy, alias le cyclope des Carpates, comme avocat. Celui-ci avait défendu avec fougue la publication de Hitler=SS, le summum du trash en ce qui concerne l’humour en camps. Maître Levy doit être sans cesse félicité pour son engagement pour la liberté d’expression. A l’époque, seul contre des associations de déportés (qui eux avaient vécu dans leur chair le calvaire des camps), il avait gagné le procès. Il lui suffirait de se souvenir de qui il était, des valeurs qu’il défendait et bien entendu de démissionner des associations dont il est l’avocat attitré. Pour tout ça, cotisons-nous pour lui acheter un médicament pour retrouver la mémoire et du courage.