@pseudonyme : Ah enfin quelqu’un qui dit une parole sensée. On ne peut comparer que ce qui est comparable, c’est pourquoi on ne peut pas dire qu’il existe de l’homosexualité chez le chien par exemple puisque le chien copule par nécessité de se reproduire (si les conditions sont favorables pour les animaux sauvages) alors que l’homme copule par plaisir principalement...

L’exemple de l’insecte qui "copule" avec le male pour lui inserer sa "semence" n’est pas un acte d’homosexualité (j’ai entendu un médecin, qui se prétendait biologiste, chez taddei, je crois, avancer cet exemple pour légitimer l’homosexualité chez l’homme) mais un acte de compétition qui vise uniquement à augmenter sa fitness (i.e. favoriser la transmission de ses gènes)

Si on prend l’exemple du loup (qui est un animal passionnant par son organisation sociétal) la dominance est lié à la reproductivité (comme chez tout animal), donc si on peut parler d’individus homosexuels pour des individus qui ont moins d’attirance pour le sexe opposé ou qui sont peu avantagé pour la reproduction, alors ces individus ne peuvent pas être dominants (donc reproducteurs). Et donc ces individus ne peuvent pas entrer en compétition avec le mâle dominant, car ils ne sont pas reproducteurs. Donc ces individus homosexuels pourraient servir au mâle dominant afin de veiller à ce qu’aucun autre mâle ne s’approche de sa femelle en son absence par exemple...(c’est une direction de réflexion d’écologue qui peut s’étendre à l’espèce humaine). Donc on pourrait dire que les homosexuels, n’ayant aucun pouvoir reproducteur, sont là pour servir les reproducteur ?