La réaction de la présidente est claire : rien à foutre d’être taxé d’handiphobie, de dégrader des bâtiments ou de harceler sur son lieu de travail une personne aux idées contraire etc. En revanche, en bonne employée de la perversion des sens et des valeurs - en gros savoir tripatouiller la com’ vers les médias en se servant de clichés issus des sciences humaines - ce qui la fait tiquer c’est la méthode utilisée (celle d’act up, en gros). Toute personne ayant travaillé sur les Liaisons Dangereuses, la stratégie ou la guerre révolutionnaire (Mao) voit bien que les mots, les slogans peuvent être investis, colonisés etc Pour l’instant nous sommes dans un monde de com’, avec une scène tenue par des aristocrates pervers. Chaque mot compte, chaque geste, chaque signe. Un jour il en sera peut-être autrement (match retour), pour l’instant... La communauté LGBT veut être un "paradigme"... Traduction, 1% de la population veut dominer le reste, selon ses critères. Ces gens prônent une humanité nouvelle, la leur, avec de la vie crée ou tuée selon leur bon plaisir, la vie consommée, vendue selon leur tiroir-fesse, un monde hyper-narcissique ou l’homme se branle sur l’homme, la femme sur la femme, un monde de ressentiment, envers les autres, les majoritaires-opprimeurs. Le troupeau majoritaire les attire (d’où leur manie d’iconiser des figures populaires (Dalida, Madonna etc.) et les révulse (d’où leur haine pour la "normalité"). Ils veulent le mariage en blanc mais aussi se faire endoffer par le tout venant des back-rooms. Ils veulent donner des leçons à la société par esprit de vengeance puisqu’ils se victimisent en permanence. Mais il n’y a qu’à regarder leurs moeurs : un milieu gangrené par la prostitution la dope et les poppers, un milieu ou passé trente ans tu peux retourner t’astiquer le bâton de Bergé (trop vieux), où tu dois raquer pour te faire fister, et où la tromperie et la trahison sont la norme. Pourquoi nos anciens pour désigner un être fourbe et inconsistant disaient-ils souvent " Tiens, voilà une petite lopette...". Je m’interroge.