J’aurais souhaité revenir sur cet article posté ici en décembre 2012.
http://www.egaliteetreconciliation....
Ici, il ne s’agissait pas de pornographie mais d’art : Des femmes lisent un texte un godmichet vibrant dans le vagin.
Je me suis rendu compte un peu plus tard que c’est exactement ce qui se passe dans certains films japonais où de fausses présentatrices télé se font baiser et se font éjaculer au visage en lisant les nouvelles.
Mis à part que dans l’un on voit tout, le principe de l’excitation produite par une attitude ou une expression qui dérape est la même.
Où est le cochon, où est l’art ?
J’ai eu beaucoup de mal à comprendre de quoi il s’agissait exactement ici.
Apparemment, c’est celle qui a rien compris à la fin (mais qui mouille le maillot pour comprendre) qui nous fait comprendre que c’est l’appropriation d’espace publiques délaissés comme nouveau champ de vision à cette nouvelle pornographie (si je me trompe, merci de me corriger).
Je crois que ce nouveau concept va être très difficile à comprendre aux forces de l’ordre pour différencier exhibitionnisme réel, voir prostitution si c’est payant et œuvre pornographique.
Si en plus on me prétend que c’est pour lutter contre le capitalisme, j’ai le droit de rire, même nerveusement. Il faut m’expliquer.
Des espaces délaissés où des gens vont vont filmer leurs cochonneries, il y en a déjà beaucoup.
Rien de neuf..
Quand je pense que Marc Dorcel a réussi à faire gober dans de nombreux films ("La princesse et la pute" est un bon exemple) que la bourgeoisie et/ou la femme bourgeoise étaient les garants de "l’ordre moral" de la société... rien qu’à voir le statut social des pires féministes des 40 dernières années vous assurent du contraire.