L’opposition parlementaire a pour sa part largement boycotté l’événement.

Et pourquoi ? C’est un moment politique important du pays en entier. Pas une élection ni une discussion de loi.

Le leader de l’opposition vénézuélienne, le gouverneur Henrique Capriles, a qualifié ces décisions de « fraude constitutionnelle », rappelant que personne n’avait élu Nicolas (Maduro) président.

C’est lui la "fraude". Le vice-président reprend les rènes en attendant les élections. Elle est où la fraude ? C’est miteux et pitoyable comme méthode. Ca me rappelle les méthodes tschuspiennes d’une certaine communauté ; mais, capriles, là, il vient d’où déjà ?
.
On ne se refait pas, hein Henrique.