Après avoir tjrs refusé d’aller sur ce terrain, les premières secondes du bonhomme m’ont convaincu d’aller au bout de ses explications, avec je dois dire un trouble certain...
J’aimerai un débat avec de vrais historiens soutenant la thèse inverse MAIS tolérants et pas des défenseurs de victimisation...
Je reviens du site de Michel Collon où j’ai lu ça, et je dois dire que ça corrobore l’analyse de Faurisson sur le nb de morts par malnutrition dans les camps. AU final il est mathématiquement et concrètement possible que les morts pour d’autres raisons soient bien peu nombreux : http://www.michelcollon.info/La-bat...
"Les chiffres des pertes :
Entre le 22 juin 1941 et le 9 mai 1945, chaque jour, plus de 17.000 soldats et citoyens soviétiques ont perdu la vie, soit un total de 25,3 millions. 27% de la population active de l’URSS mourra durant la guerre. Entre 16 et 18 millions mourront de facteurs extérieurs à la violence guerrière « normale » : au moins 3,5 millions de prisonniers de guerre soviétiques mourront de faim dans les camps allemands ; 4 à 5 millions de citoyens soviétiques – dont environ 1 million de juifs – périront dans des exécutions de masse ou dans des chambres à gaz ; 8 à 10 millions de civils soviétiques mourront de faim suite aux blocus et à la folie destructrice des Allemands. Et 7 ou 8 millions de militaires perdront la vie (1). 80% des pertes allemandes de la guerre concerneront le front de l’Est. Quant aux chiffres des pertes des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale, les voici : 187.000 Américains, 400.000 Britanniques et 65.000 Français (chaque fois, militaires + civils). "