Algérie : retour sur la prise d’otages de 2003
19 janvier 2013 13:13, par LaigleLorsque sa propre population se fait intoxiquer depuis Paris, Washington, Londres, Quatar, Rabat , c’est qu’on est loin, qu’on est à la ramasse et qu’on fait qu’essuyer les platres.
Cette prise d’otage n’est d’ailleurs que le prolongement. Le NWO attaque la Libye, déstabilise la région, et en profite pour continuer l’encerclement d’une Algérie qui n’avait d’autre moyen que de prévenir des conséquences sans avoir les véritables moyens de les empecher , car trop faible face au jeu , à la stratégie qui a plusieurs décennies.
Et à laquelle nombre de compatriotes ont malheureusement apportés leur édfiice.
Comprendre que le 911 est un false flag est un travail relativement aisé. Comprendre la satellisation de l’Algérie et les différents steps d’intoxication est hautement plus compliqué. La 3 ème étape de cette intoxication, je l’apelle "guerre civile" En effet, pour ne pas gener la speudo "war on terror", tout en gardant uen certaine flexibilité pour faire du "qui tue qui ?" et garder une épée de Damoclès au dessus de l’Algérie, on a switché vers une terminologie assez spécieuse. Dans le cas de l’Algérie, on parle de "guerre civile", et non de terrorisme. On parle de "tragédie Algérienne " (circulez, on n’ rien à vori avec eux, et puis, c’est une tragédie, il n’y a pas à en chercher les causes). les seules fois où l’on fera référence à Al Quaida, c’est lorsqu’il y a intérêt à légitimer la "war on terror "ailleurs . Les gens devraient remonter jusqu’aux années 80 et analyser la sémantique utilisée à l’encontre de l’Algérie. Remonter jusqu’au éditions de l’Immonde(Le Monde) appelant dans un paternalisme gras les Algériens à s’inscrire dans le carde restrictif du "musulman" selon la vision du FIS ( qui a commis le shirk absolu en déclarant "voter FIS, c’est voter pour Dieu, voter contre le FIS, c’est voter contre Dieu) Remontez donc jusqu’aux début des années 80 et vous distinguerez aisément ces 3 étapes sémantiques dans la propagande déversée contre l’Algérie et qui ne doit rien au hasard.
Pour le reste, concernant les tares de la société Algérienne, au niveau poliutique, au niveau de la société, des institutions, il y a de quoi dire. Mais passer de la critique de ces tares à cette vision contredite par les faits d’une armée impliqué dans des crimes de masse, il y a un pas que certains ont franchi allégrement pour différentes raisons liées à leur construction identitaire, à leur paradigme et qui a plus lien avec l’émotif que le cognitif ou la raison