Laurence Parisot : "Certains patrons sont en état de quasi-panique"
15 octobre 2012 10:32, par nanabelCertains patrons sont en état de quasi-panique.
Ce n’est pas faute de les avoir prévenu ! Ce qui se passe avec les entreprises du CAC n’a rien à voir avec un manque de compétitivité et Parisot La Sotte le sait bien.
Nous, on ne se rend pas compte de l’image que les yankees ont de nous. On les inquiète, on leur fait peur. Impossible d’imposer quoique ce soit aux français sans avoir 10 millions de personnes dans les rues. Ils craignent toujours que les français se mobilisent comme en 36, en 40, en 68, ou en 86. A leurs yeux, on est un peuple imprévisible. Les yankees pensent encore que les syndicats ouvriers français sont toujours actifs.
Quand Hollande Le Traite se rend à Londres pour rassurer les traders en leur annonçant qu’il n’y a plus de communistes en France, c’est bien que les rosbifs craignent encore les mangeurs de grenouilles. Et pour les yankees, c’est pire. Ils en sont encore à confondre socialisme français et communisme révolutionnaire ! Le Front Populaire les a vraiment traumatisé.
S’ils savaient à quel point les ouvriers sont inoffensifs, les entreprises du Dow Jones n’auraient sûrement pas pris autant de prudence à attaquer le Cac40. Mais depuis l’élection de Hollande Le Méphitique, il ont obtenu la garantie que le peuple français ne bougera pas. C’est ainsi que depuis août dernier, Wall-Street a lancé ses armées de traders à la charge du Cac. L’ordre de shorter la France a été suivi assidûment sur toutes les places boursières. Haro sur les entreprises françaises ! Les plus grosses fortunes quittent le territoire comme des rats et ceux qui restent vont se faire massacrer. Il est évident que Ayrault Le Beurk ne s’adressait pas aux ouvriers quand il a déclaré qu’il voulait une économie de combat et demandait aux français d’être patriotes.
Il n’y a pas que le Qatar qui achète des morceaux de France. Les entreprises américaines ont investi 3 milliards de dollars dans l’immobilier français depuis janvier 2012. Et à ce prix là ce ne sont pas des studios parisiens qu’ils se payent, mais carrément des parcs immobiliers, des lots d’entreprises, des oeuvres d’art et des terres agricoles. cela leur coûte d’autant rien qu’ils achètent avec des billets de Monopoly.
Ces ordures de parlementaires n’ont pas seulement vendu les français comme esclaves, mais ils autorisent aussi la vente physique de la France.
Vous savez notre problème ?... C’est qu’on est trop gentil.... Voilà ! Trop gentil, trop con !.. Ça nous perdra.