"Que comptez- vous faire concrètement, à part subir, pour que les contribuables français ne soient pas toujours les éternels pigeons face à la cupidité sans fond des requins de cette finance internationale ?"
Il s’agissait d’une question (ô combien pertinente), posée par notre unique représentante. Il eût été intéressant d"entendre la "réponse".